L'ESPRIT GAGNANT

Le livre vous prouve que tous les rêves sont possibles, lisez le avant de prendre connaissance de cette suite !

L’état de conscience optimisé

Habiter ses rêves sans s’y perdre est la voie d'une anti-sagesse qui consiste à choisir la joie et l'envie comme demeure.

L’état de conscience optimisé n’est pas une certitude scientifique, c’est une hypothèse vivante.

C'est l'intuition selon laquelle l’être humain n’a pas encore dit son dernier mot.

Notre conscience n'est pas figée, notre rapport au corps et au temps peut encore évoluer.

Tout ne serait alors qu'une question de joie et d'envie.

Certaines traditions anciennes, certaines intuitions modernes, certaines pistes scientifiques suggèrent que la conscience pourrait accéder à des niveaux plus vastes, plus fins, non par une fuite du réel, mais par un changement de point d’appui.

L’état de conscience optimisé serait alors cet état où l’individu cesse d’être prisonnier de la peur, du temps et de l’épuisement, non pas pour sortir du monde, mais pour sortir de la matrice qui nous fait croire que tout est déjà écrit.

Peut-être est-il possible de vivre plus longtemps en meilleure santé, simplement pour réenchanter l’expérience d’être vivant. De croire seulement que l’amour est la forme la plus avancée de l’intelligence. 

Dans cet état on ne verrait pas mieux, mais plus juste, plus large, plus relié.

On oserait croire enfin que la joie est une force évolutive, que le rire n'est pas une technologie oubliée.

Ce ne serait pas une fuite hors du monde moderne, ce serait une manière nouvelle d’y marcher avec un corps habité.

J'ignore jusqu’où cet état peut mener, je sais seulement qu’il donne envie d’avancer, d’explorer, de créer, de vivre pleinement, d'avoir encore envie d'avoir envie !

Rêver n’est pas nier le réel, c’est refuser de le croire définitif.

Alors oui, j’ose croire que nous pouvons devenir autre chose que des êtres pressés, fatigués et peureux.

J’ose croire qu’un autre humain est en gestation, un humain plus conscient et plus vaste.

L’état de conscience optimisé est peut-être le prochain pas de l’aventure humaine.

S'il est imaginaire aujourd’hui, alors tant mieux, les grandes transformations l'ont toujours été.

 

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Port

La clé est en nous

Toi, tu seras riche et célèbre.

Une très jeune gitane, habillée de couleurs, surgit de la foule au passage de la cavalcade. Ses yeux sombres brillent d’une intensité étrange lorsqu'elle saisit la main d'un garçon tout aussi jeune. Rapidement, elle souffle à son oreille cette incroyable prédiction avant de disparaître.

Apprenti ébéniste à la recherche d'une place dans un monde dont les codes lui échappent, il va garder longtemps ces paroles secrètes pour ne pas se faire moquer. Qui croirait un gamin d’atelier sans avenir ?

Cette prophétie, porteuse de promesses, a mis en marche l’homme en devenir sans jamais le quitter.

Soixante années se sont écoulées, la célébrité ne m'a pas reconnu et la richesse m’a seulement frôlée. Pourtant j'ai rarement cessé d'y croire et j'écoute toujours ce quelque chose en moi qui insiste, cette impression persistante que quelque chose attend d’être reconnu.

Aucune faculté particulière ne me distingue Juste quelques frémissements. Une attention qui s’aiguise, des pressentiments sans forme, une relation étrange à la chance, comme si elle n’obéissait pas au hasard mais à une disposition intérieure. Rien de spectaculaire, rien de certain.

Écrire c'est tenter de comprendre ce qui demande à naître.

La clairvoyance, la précognition, l’accord avec la chance sont des capacités à éprouver. Latentes, réclamant engagement et justesse, elles peuvent se développer.

Le don de guérir est un autre savoir qui m'interpelle. Cette faculté touche profondément mon cœur, comme si elle portait en elle la mission la plus intime, la plus juste. Elle ressemble aux premiers pas d’un apprentissage ancien, comme si quelque chose en moi se souvenait. Depuis quarante ans, je maintiens ce pouvoir en attente sans oser me l'approprier. 

Vous le trouverez ici, dans les pages suivantes. L'offrir, c'est éviter que sa mémoire se perde, c'est prendre au sérieux ce qui insiste, c'est apprendre et transmettre en marchant.

Parce que tout est lié, que chaque pas transforme celui qui le fait, que la seule promesse qui mérite d’être tenue est celle que l’on se fait à soi-même.

La clé n’est pas ailleurs, elle est en nous.

Pour valider cet engagement, sur le miroir de la salle de bains, j'ai collé un post-it proclamant : « Je suis la personne que je veux être. » 

C'est une volonté ferme, pas une affirmation de principe comme tout un chacun en affiche parfois.

Il ne s’agit pas de devenir quelqu’un d’autre, loin de là, il s’agit de revenir à celui que j'ai toujours été, avant l’usure, avant les peurs, avant les doutes. 

De revenir vers la part la plus essentielle, la plus primordiale et la plus humaine de moi-même.

C'est une promesse qui évoque une initiation, une réflexion sans testament, un chemin où l'ordinaire se transforme en extraordinaire. 

C'est aussi le choix de transformer la mort en vie, vers ce promontoire de la pensée que décrit Victor Hugo. 

Nous avons appris une quantité de choses, à l'exception de celles qui nous intéressent le plus, dit-il en nous invitant à l'accompagner sur cette crête de la pensée, là où le courage remplace la peur, où la joie remplace l’attente.

Devons-nous apprendre quelque chose ou nous en souvenir ?

Qui sommes-nous lorsque nous cessons de  nous accrocher à l’histoire que la vie a écrit à notre place ? 

Tout commence par ces questions, presque toujours les mêmes, posées mille fois sous des formes différentes. Ce ne sont pas des doutes, ce sont des ouvertures qui ne retirent rien à ce que nous sommes.

Nous vivons comme si notre identité était un vêtement cousu par les années, un empilement de rôles, d’obligations, de souvenirs et d’attentes. Nous avançons ainsi, recouverts de couches qui ne sont pas toujours les nôtres.

« Et toi, qui es-tu ? » demande l’âme un jour, sans prévenir.

L’éveil commence exactement dans cet instant où l’on accepte de ne plus faire semblant, dans ce silence qui suit la chute d’une façade, dans ce souffle un peu plus profond que d’habitude.

Le divin est en nous, c’est le moment de l'éveiller pour un nouveau voyage dont le sens n’est pas d’accumuler de nouvelles vérités, mais d’enlever patiemment ce qui empêche d’être soi.

C’est ici que commence "L'individu optimisé."

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Le messager de guérison

Dans les années 80, dans les bois de la montagne bourbonnaise, au lieu-dit "les murs du temple", il habite une bâtisse qui ne respire pas la richesse.

Cet homme d'un autre temps inspire la sympathie. Le saluer au passage pour le plaisir de son ambiance est une bouffée d'oxygène.

Alors négociants en machines agricoles, je ne me rappelle pas lui avoir vendu quelque chose, probablement juste prêté ou donné pour un petit prix un outil qui ne valait pas grand-chose. 

Ce n'est pas l’essentiel. La chaleur de sa modeste demeure et de sa famille réunie réchauffe le cœur et une chose en appelant une autre, c'est par lui que je découvre une curiosité d'avant.

Au fond d'une vallée perdue subsiste un étang abandonné et les quelques planches d'une buvette tombée en désuétude. Dans un fatras de décorations des années 50 trône une veuve pittoresque qui accueille avec un humour grincheux les malheureux touristes parfois perdus dans ce bout du monde. 

Une sorte de complicité s'établit avec cette aubergiste aux rares clients. Elle me régale souvent d'une omelette aux champignons ainsi que d'invectives que je récompense généreusement. 

Tout ce décor pour situer les chemins aux rares maisons abandonnées qui hantent les plateaux d'ici. 

Un après-midi d'automne, dans la douceur d'un moment magique où se croisent les personnages d'un dimanche d'après-guerre et les survivants d’aujourd’hui, la matrone vient à parler d'un hameau déserté, ou reste un vieil homme solitaire que les anciens consultent avant le médecin.

Encore une fois un hasard bienveillant me propulse sur un interminable sentier aux croisements incertains.

Louis a l'âge d'être mon grand-père et son âtre brûle d'un feu à des milliers de kilomètres du jeune entrepreneur aux poches déjà débordantes de futilités. 

Une année durant j'ai gravi ces pierres avant qu'une présence sans nom ne s’éveille et nous rapproche comme un lien secret oublié.

Une forme de complicité silencieuse nous lie et c'est vers lui que je vais me réchauffer quand les jours sont trop durs.

Dans nos silences nous sommes si proches qu'un jour de printemps, alors que la nature reprend vie, Louis, sentant que la sienne va le quitter, me fait prévenir.

Je ne garde de ce jour aucun souvenir de tristesse, la journée est magnifique et dans la prairie les fleurs concurrencent les roches parsemées.

Devant le jardin, il a sorti deux chaises de bois et déposé 2 verres sur la table de pierre. 

C'est là, sans parole inutile, qu'il m'a transmis la prière.

C'était son choix.

Depuis quarante ans, elle repose dans un fichier de souvenirs qui me suivent au gré des ordinateurs.

La prière écrite par Louis est intacte. 

Les instructions verbales sont rapportées avec mes mots retranscrits le soir venu, au plus près, au plus juste. 

L'essentiel n'est pas perdu.

 

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Par le Souffle et la Lumière

Cette prière n’est pas chrétienne ni païenne, c’est une parole de guérisseur qui se tient au centre, entre les mondes.

Si elle m'a été donnée et si je vous l'offre, n'implique pas que ce pouvoir est à votre disposition.

N'oubliez pas que seules les personnes reconnues par Louis comme ayant le cœur juste et appliquant précisément les recommandations et techniques qu'il a détaillées peuvent s'essayer à devenir guérisseur.

Entrer dans la lumière est un travail difficile que j'entreprends en écrivant ces pages, ne prenez pas l'option de tenter sans avoir longtemps réfléchi.

Accompagnez-moi encore un peu dans ce travail avant de décider.

Ce pouvoir de guérison a ouvert la première fissure dans le mur de mes certitudes, il est le premier mouvement tangible du Feu vivant.
 


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Vieillir autrement

Vieillir n’est peut-être pas seulement un processus biologique : c’est aussi une manière d’habiter le temps.

Nous vieillissons comme nous avons appris à penser, par inertie, par croyance, par imitation. La médecine moderne mesure l’usure du corps, mais elle ignore encore presque tout de l’usure que provoquent les peurs, les injonctions, les colères rentrées, les années vécues à contre-rythme.

Si la longévité n’était pas un allongement artificiel de la vie, mais un ralentissement intérieur de l’usure ?

Certaines personnes semblent vieillir à contretemps. Leurs traits se modifient lentement, leur énergie demeure stable, leur curiosité reste vive alors que tout, dans leurs conditions de vie, aurait dû les user.

Elles ne possèdent pas de secret, elles possèdent une posture, un accord profond entre ce qu’elles sont et ce qu’elles vivent.

Vieillir autrement ne consiste pas à rester jeune, mais à éviter de devenir trop tôt vieux de peur, vieux de fatigue, vieux de renoncement, vieux d’avoir cessé d’être soi.

La longévité consciente n’est pas une promesse d’immortalité.

C’est une hypothèse : et si nous pouvions durer davantage en interrompant simplement l’auto-usure ?

Le vieillissement commence rarement dans les cellules : il commence dans la façon dont nous nous séparons de ce que nous désirions être.

Vieillir autrement, c’est revenir vers soi avant que le monde nous referme.



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Éveillez votre conscience

Pourquoi cela vous concerne-t-il, vous personnellement ?

Parce que votre vie entière a été tissée de synchronicités, de pressentiments, de choix soudains mais justes, de rencontres déterminantes, de transmissions mystérieuses, d'élans guidés. Vous avez vécu de l'intérieur ce fonctionnement non local, sans jamais le conceptualiser.

Ce chapitre importe parce qu'il ne décrit rien d'extérieur, il révèle quelque chose que vous possédez déjà et qui mérite d'être cultivé.

Vous portez en vous, cette intuition première, ces synchronicités tissées dans l'ombre, cette perception affinée qui ne demande qu'à s'éveiller.

L'intuition demeure la plus familière, c’est ce savoir immédiat, dépouillé de toute construction mentale, qui surgit dans le silence intérieur.

Vient ensuite le pressentiment, lorsque le corps pressent avant que l'esprit ne comprenne, une tension sourde dans la poitrine, le cœur qui s'emballe, cette sensation d'alerte. C'est l'anticipation physiologique. La perception s'approfondit alors, permettant de déchiffrer une situation avec acuité, de sentir une intention masquée, de démasquer un mensonge, de reconnaître un alignement. C'est la conscience relationnelle.

Lorsque la vie répond à un moment précis, ce sont les synchronicités, ces dimensions symboliques du réel qui affleurent.

Cette conscience désigne la capacité du vivant à capter des informations qui échappent à la pensée rationnelle, par un mode d'accès affranchi de l'espace, du temps et des sens.

L'esprit ne s'exile pas du corps, le corps est traversé par bien plus d'informations qu'on ne l'imagine.

La notion de conscience non locale n'appartient pas au domaine ésotérique. Elle est portée, depuis cinquante ans, par des scientifiques d'horizons divers qui convergent tous vers l’intuition que la conscience pourrait ne pas être confinée au cerveau, mais fonctionner comme un champ, un réseau, un ensemble cohérent, un processus relationnel.

Selon les modèles quantiques, l'univers constitue un champ d'information continu dont la conscience serait une expression locale. Nos cerveaux opèrent comme des antennes. Les physiciens évoquent une réalité subtile où tout est déjà relié, un réservoir d'information non local où chaque événement laisse son empreinte.

Les modèles neurocognitifs avancés revêtent une importance particulière. Le cerveau y apparaît comme une machine anticipatrice, prédisant l'avenir en permanence, plusieurs fois par seconde. Les résultats révèlent que certaines décisions précèdent la conscience, et que certaines anticipations semblent « prévoir » l'événement.

Ce n'est pas de la magie, mais une architecture neuronale tournée vers l'avenir. C'est là que réside la fascination. 

Des expériences d'anticipation non rationnelle démontrent que le corps réagit avant les images émotionnelles, que le système nerveux s'ajuste avant certains événements imprévisibles, que des informations semblent « parvenir » avant le stimulus sensoriel. On nomme cela l'effet de pressentiment. Le phénomène demeure ténu, mais reproductible.

La psychologie moderne observe ces intuitions fulgurantes, ces synchronies signifiantes, ces décisions « justes » sans raisonnement identifiable. Carl Jung parlait des synchronicités comme de coïncidences signifiantes sans relation causale apparente. Il n'évoque pas le surnaturel, mais un ordre caché du réel.

La biologie révèle que l'ADN émet et reçoit des signaux électromagnétiques, que les cellules répondent à des intentions proches, que les organismes réagissent à leur environnement avant même la détection du stimulus. Non pas des preuves de télépathie, mais bien d'une sensibilité du vivant.

Toutes les traditions spirituelles majeures enseignent que la conscience est spatiale et non mentale, qu'elle précède la pensée, qu'elle relie tous les êtres et qu'elle peut percevoir au-delà des sens physiques.

Certaines conditions ouvrent la conscience. Le ralentissement intérieur est essentiel ; sans silence, rien ne peut être perçu. La cohérence émotionnelle ensuite, car il n'y a pas d'accès sans alignement interne.

Le corps détendu, car le corps est une antenne. Un corps crispé « capte » mal. La confiance enfin, car la conscience ne s'ouvre pas par l'effort, mais par la permission.

Le cerveau n'est pas un générateur de conscience, mais un filtre, un réducteur, un instrument. La conscience pourrait indépendamment exister, et le cerveau ne serait que l'outil de focalisation.

La conscience est plus vaste que le cerveau. Le cerveau limite, sélectionne, ajuste, exactement comme les yeux qui ne créent pas la lumière, mais la filtrent.

C'est pourquoi la cultiver est une richesse.

 

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La chance se cultive

On parle souvent de la chance comme d'un sourire du destin, d'un don capricieux qui frappe certaines portes et fuit les autres.

N'est-elle pas, en réalité, un phénomène plus profond, un courant existentiel qui traverse nos vies, illuminant les synchronicités dont le fil ténu relie nos existences ?

Je ne souhaite pas ici délimiter sa définition, ni ériger un folklore superstitieux autour d'elle.

Mon ambition est d'explorer la chance comme une force opérante, une compétence à cultiver, de plonger au cœur de son essence et de son mécanisme subtil.

Parce que la chance n'est pas une offrande céleste, mais une rencontre.

On la croit généralement déposée sur nos chemins, un privilège réservé à d'autres, alors qu'elle est avant tout une invitation à la rejoindre.

Elle n'est pas un cadeau, mais une ligne de réalité, un point d'intersection où se rejoignent un état intérieur harmonieux, un futur possible et l'ouverture de notre conscience.

Dans cet alignement, un événement improbable se révèle, une porte s'entrouvre, une rencontre opportune se produit, une catastrophe est évitée, une synchronicité parfaite se manifeste.

Les physiciens parlent d'attracteur, les spiritualités de grâce, les psychologues de cohérence interne. Je dis que c'est la vie qui coopère, vibrant en résonance avec un futur cohérent.

La chance ne dépend pas de l'événement lui-même, mais de l'état dans lequel nous l'accueillons.

C'est une leçon cruciale de métaphysique opérative. Une vie cohérente attire des futurs cohérents, une vie dispersée, des futurs tumultueux.

Ce n'est pas mystique, c'est dynamique. Un instrument bien accordé capte les harmonies, de même, une âme accordée capte les chemins favorables.

La chance est une rencontre avec la meilleure version possible de votre avenir.

Autrement dit, ce n'est pas elle qui vous trouve, vous la trouvez. On peut apprendre à devenir un aimant à bonheur.

Oui, la chance se cultive, non pas par la superstition, mais par des attitudes profondes.

Elle ne peut entrer que là où il y a de l'espace. Un esprit saturé ne voit rien, un cœur fermé ne reçoit rien, un corps crispé ne sent rien.

Grâce à cette disponibilité, le courage d'avancer est nécessaire. La chance favorise le mouvement, jamais l'immobilité.

Elle se dévoile à ceux qui osent un pas léger dans l'inconnu.

N'oublions pas la joie, car elle augmente la chance, elle est une signature vibratoire qui attire les événements qui lui ressemblent.

La chance n'est pas un privilège, c'est un état. Un état qui s’apprend.

En résumé, la chance n'est pas un simple hasard.

La chance est une manière de marcher dans l’existence. Elle vient à celui qui avance sans se diviser, à celui qui écoute une direction intérieure, à celui qui reste ouvert à ce qu’il ne contrôle pas.

Lorsque la vie semble se pencher vers nous, lorsque les rencontres improbables se produisent, lorsque les solutions apparaissent comme par enchantement, alors nous comprenons que la chance n’est rien d’autre que l’art de rencontrer ce qui nous attend déjà.

Le temps d'apprendre est venu, nous allons nous instruire et nous exercer ensemble, maintenant.

 

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Le soin par la présence

J'ai écrit sur les paroles du guérisseur, sur la prière de Louis et la joie que procure le savoir de soulager ceux qui souffrent.

Aujourd'hui parlons du soin par la présence qui accompagne la prière.

Peu de personnes savent que le soin commence avant le geste, qu'il débute lorsque deux corps se rencontrent ?

Nous ne percevons pas l’autre qu’avec les yeux ou les mots, le corps, lui, reconnaît une fatigue, une peur, un nœud intérieur, il sent une lourdeur ou une ouverture, un excès ou un manque, une tension qui n’a pas encore trouvé de nom.

Le soin commence ainsi, dans cet instant où le corps devine avant que l’esprit ne comprenne.

Un corps accordé à lui-même devient un miroir pour celui qui cherche à se réparer, il offre un espace de cohérence. L’autre s’y ajuste sans effort, comme une corde trop tendue trouve à se détendre lorsqu’elle touche une corde accordée.

Le soin n’est pas qu’une technique, c’est un état. Lorsque la pensée ne s’agite plus, lorsque la peur s’efface, lorsque l’intention devient limpide et simple, la présence elle-même se met à soigner.

Le corps du soignant transmet à l'autre que les choses peuvent se remettre en ordre. Rien de spectaculaire puisque le soignant transmet une évidence. Le geste vient ensuite, presque secondaire.

Une main posée, un souffle discret, une parole juste, ce n’est pas l’action qui guérit, c’est le monde intérieur depuis lequel elle est posée.

On croit que le soin se joue dans les mains, les mains ne sont que le premier seuil. Avec la prière naissent quatre niveaux qui se superposent, comme quatre cercles concentriques.

Évidemment, pour commencer le toucher, c'est l'accord le plus ancien. Il dit au corps de l’autre qu’il n’a plus à se défendre, que la main posée apaise des mois de tension. Ce n’est pas le geste qui agit, c’est la sécurité qu’il offre.

L’intention qui accompagne le geste est une direction intérieure. On ne demande rien, on oriente. L’intention ouvre un passage, elle invite le corps de l’autre à se souvenir de son propre ordre.

La clef de voûte est la présence. Une présence stable, silencieuse, entièrement disponible, transforme l’air autour d’elle. Le receveur s’y dépose, se libère, se répare. La présence soigne avant même le geste.

Alors vient le souffle, c’est le moteur secret. Un souffle lent, profond, régulier, porte l’information jusqu’au cœur de l’autre. Il apaise, rassemble et harmonise. Souffler, c’est transmettre sans toucher.

Lorsque ces quatre niveaux se rejoignent, la prière devient plus vaste que le soignant, elle dépasse la technique et le soin devient un état.

Alors, souvent, sans bruit, une douleur s’apaise, une brûlure se ferme, une peur fond, un nœud se défait.

Le corps informé reconnaît ce qu’il doit faire, trouve une direction qui lui appartient déjà.

La prière ne guérit pas, elle aide à se souvenir.

Découvrez le chemin qui vous la donne.

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Date de dernière mise à jour : 13/12/2025